Résumé : Les absents (hommes, dieux et autres esprits) jouent un rôle considérable dans la création des signes qui servent, dans toute société, à désigner, nommer, et même instituer les places des présents et celles des absents tout en mettant du sens dans leurs relations. La sémiotique conçoit ainsi le processus d'humanisation à travers la création des signes alors que la psychanalyse a permis, à sa manière, de voir combien le monde des absents participe à la construction psychique du sujet.
PEUCH-LESTRADE J.,
Repenser l'originaire avec l'autisme aujourd'hui in
Actes du Quatrième Groupe - Nouvelles perspectives en psychanalyse à partir de l'oeuvre de Piera Aulagnier Actes 7, Repenser l'originaire avec l'autisme aujourd'hui,
p.105-128, Paris, In Press, 2018
Résumé : Dans cet article, l'auteur propose de repenser la dimension de l'originaire dans la métapsychologie de Piera Aulagnier à partir de sa pratique clinique avec des enfants autistes en hôpital de jour. Il propose de penser que l'originaire est caractérisé par un non-transfert à la base de toutes les logiques identitaires. Ancrées dans des logiques de corps en présence plutôt que de représentation de l'absence, elles n'entrent pas dans une histoire au contraire du processus identificatoire dont il postule le commencement avec le primaire. Enfin, en s'appuyant sur la pensée d'Adolf Portmann, il propose de différencier les bio-logiques fonctionnelles, les morpho-logiques d'apparition/disparition des corps en présence et enfin les psycho-logiques ancrées dans la représentation de l'absence.
Mots clés : Aulagnier, originaire, transfert, corps, autisme, identitaire.
Résumé : Dans cet article, J.Peuch-Lestrade évoque les différents types de lien que la psychanalyse a tissés avec la science au cours de son histoire : d’abord illusion scientiste d’un ancrage biologique avec Freud qui était un darwinien convaincu, puis illusion d’une a-scientificité avec Lacan et d’une place à part pour la psychanalyse entre science et philosophie, mais en écart irréductible et définitif avec la biologie, enfin désillusion actuelle liée à la perte rapide et accélérée de son statut de science au contraire des approches cognitivo-comportementales dont la dimension scientifique n’est pas mise en question. Il interroge enfin la possible transformation de la psychanalyse à deux niveaux : au sein de sa métapsychologie et de sa pratique en écho aux changements contemporains du régime de l’autonomie dans la société, ainsi que dans son possible dégagement par rapport au réductionnisme d’une psyché conçue comme organe d’un corps uniquement fonctionnel.
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Mots clés : Psychanalyse - Scientificité - Fonctionnalisme - Corps - Transformation
Résumé : Dans ce premier article, l’auteur présente une pratique de théâtre d’ombres en hôpital de jour pour enfants, et montre comment le passage par l’acte et par le geste, en présence d’autres sur lesquels l’enfant autiste ou psychotique va pouvoir s’étayer, favorise son accès à la vie psychique telle que nous nous la représentons d’ordinaire. L’atelier mobilise également la question de la place de chacun dans son rapport à l’institution.
Mots clés : ombre, autismes, psychoses infantiles, médiation thérapeutique, hôpital de jour pour enfants, geste, représentation d’absence
Résumé : Dans ce deuxième article, l’auteur présente une pratique de théâtre d’ombres en hôpital de jour pour enfants, et montre comment ce qu’il propose d’appeler « le travail du rire » puis le partage des mythes – indissociablement rites – magico-sexuels vont permettre l’entrée dans le fantasme individuel à partir d’actes partagés avec d’autres. Ces deux dimensions convoquent les corps des spectateurs comme celui de l’acteur dans des actes en écho, favorisant ainsi la représentation psychique. Un contrepoint sur la théorie de l’esprit à partir du travail de l’ombre conclut ce travail.
Mots clés : ombre, autismes, psychoses infantiles, médiation thérapeutique, hôpital de jour pour enfants, mythes magicosexuels, geste, rire, fantasme, théorie de l’esprit, neurone-miroirs, méthodes comportementales
PEUCH-LESTRADE J.,
Quand Oedipe rencontre Dibutade in
Actes du Quatrième Groupe, L'oeuvre d'art : un ailleurs familier, Actes 3, Quand Oedipe rencontre Dibutade,
p. 17 à 32, Paris, Editions In Press, 2014
Résumé : L'auteur, dans cet article, nous fait part de ses réflexions à partir de sa double pratique de psychanalyste et de peintre. En faisant se croiser les mythes d'origine de l'une et l'autre pratiques, il vient réinterroger, à partir de la dimension du geste, notre tendance spontanée à opposer trop facilement la perversion à la sublimation, la parole et la pensée à l'acte, la vérité à la nudité.
Cet article est paru dans "L'oeuvre d'art : un ailleurs familier - Actes 3 - 2014"
Présentation de l'ouvrage en cliquant sur le lien.

Mots clés : Psychanalyse - peinture - perversion - sublimation - geste - acte - nudité - vérité
PEUCH-LESTRADE J.,
Campe sur la faille in
, Postface du livre: Une certaine épistémologie de la psychanalyse de Claude Maritan et Renée Fraysse Maritan, www.lapenseevagabonde.org, La pensée Vagabonde, 198 pages, 2013, 2013
Résumé : Partant de l’ordinaire du psychanalyste, dans son métier quotidien, ce texte envisage la connaissance de l’inconscient, les conditions de sa possibilité, la nature de ce qu’elle révèle, et les problèmes de sa théorisation. Nous y rencontrons l’écart irréductible entre le point de vue de l’analyste et celui de l’analysant, la différence entre théorie et témoignage, et surtout l’outil de cette connaissance qui est l’inconscient du psychanalyste lui-même. L’essentiel de l’épistémologie de cette discipline concernera donc ce praticien et tout ce qui l’autorise à laisser advenir l’inconscient d’autrui à des fins soignantes, sans que ce soit de l’inquisition, de la direction de conscience, de la pédagogie ni du saccage colonisateur. Quant aux conséquences pour la théorie, deux seront mises en avant : d’une part l’impossibilité de faire une théorie unifiée d’un inconscient qui, lui, ne l’est jamais, et d’autre part l’impossibilité de donner sur l’affectif et le libidinal un seul point de vue, masculin ou féminin, car les deux doivent coexister, s’entretisser et se répondre.? Claude et Renée Fraysse-Maritan ont été tous deux membres de l’École Freudienne de Paris (celle de Jacques Lacan, dissoute en 1980), puis ont collaboré au Collège de psychanalystes. Ils ont tous deux participé à la très forte aventure des Ateliers de psychanalyse, travaillé avec le groupe SPF de Grenoble. Renée Fraysse-Maritan, a travaillé plusieurs années avec Françoise Dolto, a animé le séminaire : Signifiant graphique et langagier dans la cure analytique de l’enfant. Claude Maritan, après quelques années à la SPF, est resté en dehors de toute institution. Ils ont vécu et exercé la psychanalyse à Lyon. Claude Maritan a publié, chez L’Harmattan : Pulsions de mort et tragiques grecs (1996) et Abîmes de l’humain (2006). Il est décédé en janvier 2013. La préface écrite par Marc Bonnet a pu lui être lue avant sa mort. En postface : Deux psychanalystes de générations différentes, Lucien Mélèse et Jean Peuch-Lestrade connaissant Claude et Renée Maritan ont accepté de donner leurs avis sur le document des auteurs ouvrant et poursuivant le débat.
Résumé : La crise, qui a secoué la psychanalyse dans ses rapports à l’autisme bascule autour de la diffusion sur internet du documentaire « Le mur », qui se révèle être un pamphlet très violent contre elle. Son originalité tient à l’utilisation de l’arme du rire pour rendre les psychanalystes ridicules. Dans cet article, je fais un parallèle avec le rire de la servante de Thrace lorsque Thalès tombe dans le puits, même si ici le puits se trouve être un piège, celui des médias. Je montre d’abord comment le destin du rire de la servante en philosophie peut nous donner un autre éclairage sur cette crise, car de nombreux éléments, comme ceux du rapport à la science, de l’incompréhension de la théorie ou de la déformation professionnelle peuvent se retrouver en psychanalyse. J’explore ensuite la cause de ce rire pour avancer dans la compréhension de cette controverse dont un des enjeux est la disparition d’une psychogénèse, voire plus largement de toute théorie du psychisme. Je termine sur la question de savoir s’il reste une place pour l’esprit dans la médecine contemporaine.
Mots clés : Controverse autisme, Psychanalyse, Psychanalyse et philosophie, Esprit, Rire
Résumé : Lorsqu’on conçoit l’essence du transfert comme un partage d’images, tout le problème sera du côté de la possibilité de celui-ci. Le statut de l’icône dans notre monde occidental pourrait en être une des figures. Les autistes, qui pensent en images, sont pourtant dans une non-partageabilité à ce niveau. On peut dès lors affirmer qu’ils sont hors transfert, et ceci justifie toutes les prises en charge behaviouristes. Continuer à penser le travail avec eux en termes de transfert amène à critiquer le primat de la régression dans la théorie analytique, et à dissocier deux pôles d’attractivité, transfert et origine, qui restent confondus dans la névrose. Ceci conduit aussi à privilégier une transversalité du contre-transfert dans un travail à plusieurs en institution, par rapport à un transfert sur la personne de l’analyste en situation duelle.
Mots clés : autisme, hôpital de jour, transfert, régression, image, icône
Résumé : La question de l’autorité est ici abordée pour interroger une clinique des sociétés analytiques sous l’angle de la possibilité d’un « vivre-ensemble » qui s’est tout au long de l’histoire du mouvement psychanalytique révélée problématique. L’hypothèse est proposée d’une difficulté à sortir d’un modèle sociétal vertical organisé à partir de figures d’autorité, afin d’investir un « travail du politique » qui pourrait permettre l’émergence, sur un mode transversal, d’un débat contradictoire entre une pluralité d’auteurs.
Mots clés : autorité, pouvoir, sociétés analytiques, transmission de la psychanalyse
Résumé : L’Antigone de Lacan est un modèle pour l’éthique du psychanalyste. En reprenant la discussion autour d’Antigone à partir de plusieurs points de vue contradictoires, deux positions émergent : une éthique qui viendrait à la place des enjeux politiques et une éthique qui pourrait y être associée. Les implications de ces positions sont ensuite envisagées dans les rapports du psychanalyste aux institutions qui peuvent le concerner : institutions de soins et sociétés analytiques.
Mots clés : Psychanalyse, Antigone, Éthique, Politique, Institution, Sociétés analytiques
PEUCH-LESTRADE J.,
Les rêves peuvent-ils voyager ? in
Le Coq-Héron 191, Frondaisons et arborescences des rêves : nouvelles perspectives,
77-83 , Ramonville Sainte Agne, Éres, 2007
Résumé : Dans cet article, je discute l’ouvrage de René Kaës La polyphonie du rêve, sur le point de sa clôture ou de son ouverture d’un point de vue psychanalytique à partir des conceptions de Pierre Fédida, puis d’un point de vue anthropologique à partir de la notion de temps du rêve chez les aborigènes d’Australie.
Mots clés : rêve, traumatisme, groupe.
Résumé : L’autisme déclenche des guerres, et plus particulièrement des attaques violentes contre la Psychanalyse en tant qu’institution. Je fais l’hypothèse qu’il constitue un modèle identificatoire pour les humains dans lequel le rapport à la théorie est autosuffisant, rendant superflue la rencontre avec les autres.
Autism often sparks off great conflict and in particularly violent attacks against Psychoanalysis as an institution. The author of this article argues that autism is a model for identification between human beings in which the correlation with theory is self-sufficient, thus rendering superfluous any encounter with others.
Mots clés : Autisme, Identification, Institution, Psychanalyse, Cognitivo- comportementalisme, Autism, Identification, Institution, Psychoanalysis, Cognitive- behaviour theory.
J. PEUCH-LESTRADE,
Les rêves peuvent-ils voyager ? in
Le Coq-Héron n°191 2007/4, Frondaisons et arborescences des rêves : nouvelles perspectives,
p.77-83, Ramonville Saint-Agne, Erès, 2007
Résumé : Dans cet article, je discute l’ouvrage de René Kaës La polyphonie du rêve, sur le point de sa clôture ou de son ouverture d’un point de vue psychanalytique à partir des conceptions de Pierre Fédida, puis d’un point de vue anthropologique à partir de la notion de temps du rêve chez les aborigènes d’Australie.
Mots clés : rêve, traumatisme, groupe
Résumé : Dans cet article, l’auteur postule l’existence d’un transfert spécifique sur l’institution, dans laquelle les enjeux politiques de pouvoir et d’autorité qui s’y déploient seraient le support des transferts de l’archa ïque des patients accueillis. Le suivi d’un enfant accueilli en hôpital de jour illustre cette hypothèse.
In this article, the author puts forward the hypothesis that there exists a specific transference onto institutions, in which the political implications of power and authority support the transferences of the earliest experiences of patients. The case of a child treated in a day hospital is put forward to illustrate this hypothesis.
Mots clés : Institution, Transfert, Politique, Archa ïque, Pouvoir, Pluralité, Institution, Transference, Politics, Earliest experiences, Power, Plurality.
Résumé : La désintrication des deux composantes de l’amour, la sexualité et la reproduction, est requestionnée à la lumière des débats actuels pour un droit au mariage des homosexuels et une reconnaissance de l’homoparentalité.
The disintrication of the two components of love ie. sexuality and reproduction are looked at here in the light of current debate on homosexual marriage and the recognition of same sex parenting.
Mots clés : Amour, Sexualité, Reproduction, Mariage, Homosexualité, Homo- parentalité, Love, Sexuality, Reproduction, Marriage, Homosexuality, Same Sex Parenting.
Résumé : 278 pages
Mots clés : Traumatisme -Transfert - Institution
Résumé : Nos décisions en tant que psychanalystes, du fait du rapport très particulier de filiation que nous avons avec Freud, peuvent être situées sur un axe orthodoxie-créativité dans notre relation à la théorie psychanalytique. Mais si pour Freud, cette théorie s’élabore dans l’amitié, elle prend forme à l’occasion de ruptures avec les amis et prévalent alors des mouvements d’appropriation, à l’origine de conflits d’héritage de type familial. Une lecture politique de ce qui est d’habitude analysé uniquement en termes de transfert propose de penser ensemble dans le champ de notre discipline, les avancées théoriques et leurs avatars politiques au plan institutionnel.
The decisions that we make as psychoanalysts, due to the very particular bond we have with Freud, may be placed on the axis that runs between orthodoxy and creativity as far as our relationship with psychoanalytical theory is concerned. Even if Freud considered that this theory should develop in a spirit of friendship, there are often break-ups with friends in moments of appropriation, just like in families over inheritances. A political reading of what is usually analysed uniquely in terms of transference allows us to share our thoughts within the field of our discipline, to share our theoretical breakthroughs and political changes on the institutional level.
Mots clés : Décision, Transfert, Institution, Amitié, Théorie, Politique, Decision, Transference, Institution, Friendship, Theory, Politics.
Mots clés : Cure analytique - Institution - Fantasme - Construction
Mots clés : Transfert - Institution -Théorie - Politique
Mots clés : Cure analytique - Arendt - Parole
PEUCH-LESTRADE J. et ALTOUNIAN J.,
L'intraduisible, Avec les contributions de ROYER F., JULLIAND E., MATHA C., AGUERA M., RÉMOND G. et CHAREYRE R., Contributions inédites, Site du Quatrième Groupe - http://quatrieme-groupe.org/, publié le 07 Mar 2008
Argument : Toute l'année, dans le cadre de notre groupe de travail Psychanalyse et Politique, nous avons ensemble lu, commenté, critiqué le dernier livre de Janine Altounian, L'intraduisible qui témoigne de la manière dont l'écriture, dans une démarche de traduction et de conceptualisation, a rendu possible pour elle l'élaboration du génocide des Arméniens qui a touché ses aïeux. Mais nous nous sommes aussi affrontés, dans des débats le plus souvent passionnés, sur les questions fondamentales que l'ouvrage ouvre pour les psychanalystes et la théorie de la psychanalyse quant à la manière dont peuvent être pris en compte des faits de société comme les grands traumatismes de l'Histoire contemporaine. En quoi seraient-ils spécifiques par rapport aux traumatismes "ordinaires" de la vie des familles ? Que faire quand le psychanalyste se trouve aux prises dans son écoute avec des phénomènes de résonance entre sa propre histoire, celle de son analysant et la grande Histoire ? Peut-on en témoigner et auprès de qui ? N'est-il pas préférable de le taire ? Comment et pourquoi, autour de ce travail de mise en mots de l'indicible, la psychanalyse rencontre-t-elle le champ des institutions de la République, celui de la prise de parole publique que permet la démocratie ? Ecrire, nous dit Janine Altounian, a été pour elle une issue possible ; "sa démarche créative", peut-elle être comparée à d'autres ? Nous avons pensé à une œuvre d'art, Guernica en particulier.
Enfin, cette clinique ne devrait-elle pas nous amener à repenser notre théorie de l'identification, qui privilégie un modèle familial et vertical, du côté d'une possible ou impossible identification en tant qu'humain ? Toutes ces questions ont amené certains d’entre nous à écrire des textes qui ont été mis en débat avec Janine Altounian lors d’une après-midi de travail à Lyon le 22 septembre 2007. Les débats ont été fructueux y compris avec la salle. Les textes ici présentés sont la reprise de ces interventions ainsi qu’une reprise de ses réponses par Janine Altounian.
Lecture en ligne :
Table des matières :
p 3 François ROYER : Destins d'un intraduisible
p 7 Eric JULLIAND : Fluctuat Nec Mergitur
p 10 Christophe MATHA : Le pari de la faille
p 13 Marie AGUERA : Passer des décombres à la pensée
p 16 Gilbert RÉMOND : L’écriture du décollement
p 23 Régine CHAREYRE : Désidentification humaine au XXIe siècle
p 31 Jean PEUCH-LESTRADE : L'intrahissable
p 38 Janine ALTOUNIAN : Reprise du dialogue avec les discutants
40 pages.
PEUCH-LESTRADE J. et NACHIN C.,
Journée de travail sur le secret, Avec les contributions de ALOMBERT C., BUGGLIN E., MARTHA C., EBENDINGER-CURY C., GEAY D. et JAITIN R., Contributions inédites, publié le 01 Nov 2003
Présentation : La journée de travail du samedi 15 novembre 2003 à Lyon a été consacrée à la restitution des réflexions élaborées dans le groupe de travail sur le thème du secret animé par Jean Peuch-Lestrade au cours des quatre années passées. Chacun des membres du groupe y a présenté une hypothèse qu'il a développée au cours ou à l'issue de nos rencontres. Cette présentation était suivie de la réaction de Claude Nachin . Les éléments du débat n'ont pas été retranscrits.
Vous trouverez ci-joint la première de couverture ainsi que toutes les informations vous permettant de vous procurer cet ouvrage.