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Activités scientifiques IV Groupe

LYON, Cycle d'études
 La première des trois séquences du cycle se tiendra le Samedi 25 novembre 2023 de 14h à 17h. Les deux autres dates retenues sont le samedi 23 Mars 2024 et le samedi 22 Juin 2024
La transmission, la filiation et la formation en psychanalyse
 

Secrétaires :M. Aguera, S. Cognet, R. Dubanchet, E. Julliand, J.-L. Serverin

Paris, (journée réservée aux membres et participants du IV° Groupe)
Samedi 18 novembre 2023 de 9h45 à 18h
RENCONTRES THÉORICO-CLINIQUES  Paroles individuelles et groupes de travail  
Intervenants : Grégory Boutin (Valence), Catherine Danet (Lyon), Élisabeth De Barbanson (Lyon), Hélène De La Vaissière (Lyon), Katia Dziwulski (Paris) Clarisse Fondacci et Kenza Cherkaoui (Paris), Myriam  Leibovici (Paris),  Géraldine Le Roy (Paris), Émilie Pain (Caen),Angélique Roldan (Bordeaux), Thierry Scrive (Bordeaux), Marie-Claude Suant (Paris) Comité d’Organisation : Outre Jean-François Chiantaretto et Georges Gaillard (secrétaires scientifiques) , Claudine Billard-Coftier, Élisabeth Bugglin, Myriam Diallo, Claude Jourdain, Philippe Grondin

Paris, Projection d'un film et débat
Samedi 9 décembre 2023 de 14 h00 à 17 h30
L’inspiration psychanalytique  Avec, autour et à partir du film  « Loup, y es-tu ? » (Clara Bouffartigue, 2022)
Intervenantes :Clara Bouffartigue, réalisatrice du film (autres films : Quelques-uns d’entre nous -2006-, Tempête sous un crâne -2012-)Françoise Francioli, participante aux activités scientifiques du Quatrième GroupePierrette Laurent, pédopsychiatre, psychanalyste, Présidente du Quatrième GroupeMuriel Soulié, pédopsychiatre au CMPP-BAPU Cl. Bernard, psychanalyste, thérapeute familiale, membre de la SPRF 14h-16h15 : Ouverture par les secrétaires scientifiquesBrève introduction par Françoise Francioli et Clara Bouffartigue.Projection du film, suivie d’échanges avec Clara Bouffartigue et Muriel Soulié.16h15-16h30 : Pause16h30-17h30 : Demande, transferts, institution - discussion introduite et animée par Pierrette Laurent et Muriel Soulié Comité d’organisation :Jean-François Chiantaretto et Georges Gaillard (secrétaires scientifiques), Françoise Francioli, Pierrette Laurent, Muriel Soulié

Paris,
27 janvier 2024 matin
Discussion-débat à la suite à l’exposition « Regards » qui s’est tenue à la maison de Victor Hugo 17 février-5 juin 2022, ayant réuni des professionnels de Sainte Anne et des professionnels du Musée, à l’initiative d’Isabelle Mayeux (Paris)

Paris, Présentation d'un livre
10 février après-midi
Présentation discussion autour de l’ouvrage : "Éthique, inconscient et questions contemporaines » avec Monique Lauret et Brigitte Dollé-Monglond 

Paris,
9 & 10 mars 2024
Résistances
Le Comité d’Organisation est composé de Brigitte Dollé-Monglond, Élisabeth Herlemont, Marc Amfreville, Robert Colin, et des secrétaires scientifiques Jean-François Chiantaretto et Georges Gaillard

Exothèque

Bruxelles, Ecole Belge de Psychanalyse (EBP)
le 24 novembre 2023 à 20h30
Pr Georges GAILLARD (Université Lyon 2), membre du IVème Groupe « La liaison pulsionnelle et la Kulturarbeit ; de la clinique du sujet et de la clinique institutionnelle »

Publications récentes du IVème Groupe

PUBLICATION DES JOURNEES SCIENTIFIQUES 2022, Avoir peur, livre
PUBLICATION DES JOURNEES SCIENTIFIQUES 2021, Au-delà des mots... La cure de parole, livre

Articles Varia récents

DROSSART F., L'Ajax de Sophocle : envie et ingratitude
EVEN-LE BERRE C., En dialogue autour du dernier ouvrage de Jean-Claude Rolland « Le verbe devant l’inconscient »
JULLIAND E., René de Obaldia, un enfant mal accueilli et sa pulsion de vie
LÉVY G., La fatigue de désirer. Ce qui reste de l’après-confinement

Publications récentes

LOMBARD G., ChatJPT et le Corpus théorique freudien, article
ROLLAND J.C., Aux sources de l’inspiration Préface de J.-F. Chiantaretto, livre
PEUCH-LESTRADE J., Entre les formes du corps et les signes du langage, article
GAILLARD G., Le lien soignant, une construction collective, article
PEUCH-LESTRADE J., Soin psychique et éducation thérapeutique : entre méthode et transferts, article
MILNER M., Libre cours, livre
ASSAN Jean-Michel, Sophie Morgenstern, l’oubli des commencements, article
AMFREVILLE M., L'ombre de la psychanalyse, interligne
MATHONNAT C., La figure du tiers symboligène et ses avatars dans le handicap mental, article
HERLEM P., De la guerre, article
FOGNINI M., Vivre et penser en notre ère de « mutations » anthropologiques, article
SANGUET M., Du confinement des hérissons, article
FOGNINI M., XXIe siècle en terres de guerre Inachevable rapport de téléportation quantique, article
GUEDJ M., Les îles, article
COLIN RC., « En même temps », article
FILLOUX J., Interpréter l’enfance ?, article
CHIANTARETTO JF., Quelques remarques et questions à Janine Filloux, article
PEUCH-LESTRADE J., Troie en Ukraine, article
PACCOUD O., BIARNES J., HERLEM P., Quels sont les liens du psychanalyste avec son temps ?, article
MOREAU RICAUD M., KOSZTOLANYI D., Souvenirs de S. Ferenczi par l’écrivain Dezsö Kosztolányi, article
LÉVY G., L’écosystème humain Un territoire menacé, article
PEUCH-LESTRADE J., La psychanalyse au risque de l’oubli du monde, article
AMFREVILLE M., Conscience, inconscience et inconscient ?, article
MATHA C., Un effet de l’originaire ?, article
MATHONNAT C., Fonctionnement incestuel dans l’institution, article
CHIANTARETTO J.-F., Le secret de la pensée, article
CHIANTARETTO J.-F., COHEN DE LARA A., HOUSSIER F., MATHA C (ss la dir) J.-F. CHIANTARETTO, M. FOGNINI, P. LAURENT, G. LEVY et M. MOREAU-RICAUD (avec la partic) , Aux origines du Je. L'œuvre de Piera Aulagnier, livre
LAURENT P., Une métapsychologie de la rencontre ?, article
LÉVY G., Gorgö ou la métamorphose de Narcisse, article
MOREAU RICAUD M., Notice biographique Nathalie Zaltzman (1933 - 2009), article
MOREAU RICAUD M., Notice biographique Piera AULAGNIER (1923 -1990) , article
MOREAU RICAUD M., De l’écoute analytique à l’écoute médicale augmentée : l’effet Balint, article
DOLLÉ-MONGLOND B., Avant-propos : Présidence, Ethique et psychanalyse, article
BARREAU J.-J., La présence de l'analyste et la matérialité du cadre analytique, article
MENTELIN N., La cigogne et le sein fou, livre

Octobre-Décembre 2023 - Bienvenue sur le site du Quatrième Groupe


L’ÉDITORIAL

 Les attentats terroristes du Hamas en Israël, le siège de la bande de Gaza qui s'en est suivi, l'attentat d'Arras quelques jours après sont des évènements effrayants qui nous sidèrent et nous laissent sans voix. Nous essaierons pourtant d'en dire quelque chose : la page "Actualité" ci-dessous en témoignera avec des textes personnels. Un premier texte, celui de notre présidente, Pierrette Laurent, les introduit. Mais nous avons fait le choix de maintenir l'éditorial de ce trimestre. Il se trouve être, du fait de son lien avec nos activités scientifiques actuelles, sur le thème de l'empathie, empathie sérieusement chahutée dans les circonstances géopolitiques actuelles.

Nous connaissons le modèle chirurgical revendiqué par Freud, qui, en soulignant la nécessaire froideur des sentiments de l’analyste, ne fait pas de place à l'empathie. Questionner l'empathie comme nous l'avons fait lors de la récente journée membres – participants, c'est affronter les paradoxes de cette notion discréditée. Pourtant cette notion, qu'on peut considérer comme floue voire fourre – tout, se trouve au carrefour entre neurosciences, psychanalyse et sciences sociales, mais aussi entre esthétique, éthologie et philosophie morale et politique : elle devrait donc favoriser les échanges et l'interdisciplinarité.
Mais, il semblerait, qu'y compris entre psychanalystes, elle suscite facilement une opposition entre des positions tranchées. Comment comprendre ce phénomène autour d’une notion dont un des sens possibles est précisément de comprendre le fonctionnement psychique de l’autre ? Ferenczi retenait deux acceptions de ce terme : le désir du patient d’être deviné, mais aussi la capacité de l’analyste à sentir ce que le patient allait pouvoir supporter.

L'argument de cette journée posait clairement la question : « ...si le mot fait malaise entre nous, ce serait parce qu'il révèle d'autres clivages, métapsychologiques cette fois-ci, comme si la métapsychologie, héritée de Freud se réduisait à un corpus à garder ou rejeter… [Il s’agirait] d'embarquer dans un au-delà des clivages afin de requestionner la scène inaugurale entre Freud et Ferenczi… pour arriver à penser ensemble « raison » et « sentir avec ». »

« Faut-il sauver le soldat empathie ? » fut une des questions du débat, qui nous mettait face à l’opposition tranchée déjà évoquée. D'autant que le constat fut fait qu'aucun des conférenciers n'utilisait cette notion pour théoriser sa clinique.
Pourtant, ils nous ont amenés à circuler et à mettre en tensions des concepts et éléments de la théorie psychanalytique qu'on peut situer dans l'aire de l'empathie : transfert et transmission de pensée, identification et traumatisme, contre-transfert. Tantôt son incompatibilité avec la psychanalyse a été soulignée du fait de la confusion qu'elle induirait, tantôt l'intérêt de l'envisager comme une notion qui nous permet, en lien précisément avec l'embarras dans lequel elle nous met, d'aborder des zones de la rencontre clinique difficiles à théoriser, celles de l'intuition et du tact par exemple.
Aimer et travailler est-il possible sans empathie ? A l’autre bout du travail analytique, du côté des fins plus que des moyens, elle interroge le destin de la destructivité de l’autre et sa possible ou impossible perlaboration. Resteraient toujours à questionner aussi, dans une perspective analytique, son sexe (y-t-a-il une empathie au masculin et au féminin ? ), ses pluriels (relève-t-elle uniquement du Moi ? ), et la clinique de sa présence/absence (ce que l’autisme ou la psychopathie, par exemple, nous font interroger).
Une notion dont l'intérêt pourrait donc être sa négativité dans le champ conceptuel ? Cause ou conséquence de la transdisciplinarité sur laquelle elle ouvre qu'on accueille ou refuse ?

 

Jean Peuch-Lestrade
Responsable du site

 


PARUTIONS RÉCENTES



ACTUALITÉ

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Quel effroi devant l’attaque terroriste menée par le Hamas sur des bébés, des enfants, des adolescents, des femmes, des hommes, des vieillards. Certains ont été surpris dans leur liberté festive (une rave-party), d’autres dans leur vie amicale, familiale, d’autres encore dans leur lit. Comment trouver les mots pour dire la barbarie de ce massacre, pour dire cette volonté d’éliminer ceux qui dansent, grandissent ou vieillissent, ceux qui vivent. Ce n’est pas seulement Israël qui est attaqué, c’est la cause palestinienne elle-même, c’est l’humain en chacun de nous, sa vulnérabilité, son désir de vivre, sa vie. Pour tuer aussi froidement, rapidement, prendre des otages civils, torturer, il faut à la fois avoir perdu la reconnaissance de l’autre en tant qu’humain et sa propre  « identification à l’espèce humaine » (Nathalie Zaltzman), avoir acquis une capacité d’indifférence radicale à la souffrance de l’autre, être aux prises avec une destructivité qui est aussi une auto-destructivité, une haine de la vie, une véritable culture de mort.
Nous, psychanalystes, qui travaillons avec les effets psychiques des situations traumatiques, avons à chercher les mots qui permettraient d’éviter la transformation de l’effroi en haine.
Nous sommes, encore et à nouveau, devant la question irrésolue posée par Freud en 1929, dix ans après la première guerre mondiale et dix ans avant la deuxième : «  La question décisive pour le destin de l’espèce humaine me semble être de savoir si et dans quelle mesure son développement culturel réussira à se rendre maître de la perturbation apportée à la vie en commun par l’humaine pulsion d’agression et d’auto-anéantissement (S. Freud, 1929 , Le malaise dans la culture, O.C. XVII, PUF, 1994, p.333). »

Le 13/10/2023
Pierrette Laurent
Présidente du Quatrième Groupe

Traversées du mal : penser ou compatir -  Ghyslain Lévy et Mustapha Meslem - Octobre 2023

Le texte qui suit a été écrit dans les jours qui ont suivi l’attentat effroyable que la population israélienne a subi le 7 octobre. Il s’inscrit dans l’actualité de cet évènement et les bombardements de Gaza qui s'en sont suivis en riposte. En tant que psychanalystes, nous avons à faire savoir, combien la situation présente qui nous traverse tous, nous concerne au plus près aussi bien en tant que praticiens de la psychanalyse qu’en tant que citoyens, et plus simplement en tant qu’êtres humains. Lire le texte téléchargeable en pdf

 

Comment demeurer pudique, réaliste et analyste face à l’horreur et l’effroi du règne du meurtre ? Catherine Even-Le Berre - Octobre 2023

Nous ne pouvons passer sous silence cette nouvelle attaque terroriste sanglante, [...]. Une nouvelle fois, une fois de plus, cela m’a rapprochée de l’échange de correspondance entre EINSTEIN et FREUD en juillet 1932, quelques années avant la guerre de 1939-45. Lire le texte téléchargeable en pdf

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L'empathie en questions

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Lost in translation - Brigitte Galtier - Octobre 2023

Que l’Education Nationale envisage cette rentrée d’ajouter à l’instruction des « cours d’empathie » a fait doublement sourire : si tant est que celle-ci s’enseigne, la mesure révèle plutôt le problème impossible à affronter : lire la suite

 


Psychanalyse et Technique


Machines à penser, penser les machines entre main et cerveau - Comité du Site - Juin 2023

Ce texte, élaboré à plusieurs au sein du comité du Site, met en discussion la pensée de deux philosophes intéressés par le thème des machines et du numérique : Jean Vioulac et Anne Alombert.
Quelques-unes des questions que ça pose à la psychanalyse sont ensuite évoquées. Lire le texte téléchargeable en pdf
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Technique ou méthode ? - Brigitte Galtier - Juin 2023

 Distinguer méthode et technique, au temps des origines de la psychanalyse, ouvre des questionnements aujourd’hui. Lire le texte téléchargeable en pdf 

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Lignes et traces dans la clinique de l’aide médicale à la procréation - Paul Boissenin - Septembre 2023

« Parler de notre dépassement actuel par les techniques est donc un faux problème : les techniques sont « dépassantes » et le point angoissant n’est probablement pas là » nous dit André Leroi-Ghouran, lire la suite...

 


 Nouveaux liens


Du négatif à la vie - Novembre 2022


Invitée du Séminaire de Jean-François Chiantaretto sur "L’écriture du psychanalyste", l’intervention de Janine Altounian est à écouter sur son site.

Janine Altounian n’est pas psychanalyste.
Dans cette distinction qu’elle aime inscrire dans sa rencontre avec les psychanalystes, « je suis une analysante », elle nous convoque au lieu vivant de notre pratique, celui qui suppose que l’un ne va pas sans l’autre. L’analyste est aussi et restera toujours un analysant, et c’est dans cette dialectique mobile aux visages identificatoires multiples qu’il trouve et crée sa place, continuellement.
Janine Altounian « n’aime pas écrire » dit-elle et n’a « jamais eu envie d’écrire ». Et pourtant ! Son parcours articule la nécessité d’en passer par l’écriture comme lieu de rencontre possible entre ce qui de l’intime, d’une indicible transmission traumatique et le travail de culture peut trouver sa part visible, reconnaissable et partageable.

« Traduire pour hériter », pour aimer son héritage, avec et au-delà la marque traumatique de celui-ci. Il faut donc parfois en passer par cet exercice de traduction convoquant l’autre comme témoin pour éviter à l’expérience traumatique de poursuivre son travail d’attaque et d’isolation du sujet, d’une génération à une autre.
Pénélope fait et défait chaque nuit le linceul de son beau-père Laërte pour signifier son refus du meurtre de ce qui l’affilie à son époux. Il faut recommencer chaque nuit la tâche artisanale dans une lutte solitaire et répétée entre la destructivité et la vie qui résiste. Donner place, corps, à l’absent, et non au disparu qui n’a ni place, ni corps.
Cela n’est pas totalement un hasard si c’est le signifiant « lieu » qui insiste. Il y a dans la démarche de la germaniste et essayiste une présence toute singulière dans son acuité aux mots et leur polysémie par le passage à la langue étrangère. Comme si cette attention choisie lui permettait d’explorer d’autant mieux les zones psychiques délaissées ou incomprises faute d’entente autour d’une langue commune. Elle nous dit dans son intervention que « la non compréhension de l’analyste ne me gêne pas, cela m’aide à comprendre à quel endroit il ne comprend pas, à quel endroit le lien ne se fait pas. ».
De « L’effacement des lieux » (titre de son dernier ouvrage paru aux Presses Universitaires de France, 2019) à leur réhabilitation, le travail n’en est jamais fini. En se nommant destinataire du manuscrit de déportation de son père, Janine Altounian nous rappelle qu’«être à l’écoute» ne va pas de soi et relève, toujours, d’une décision singulière et de notre responsabilité.


 

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