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Ferran PATUEL-PUIG

membre historique

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Résumé : Texte inachevé, destiné à la conférence qu'il aurait du donner en avril 1996.

Résumé : Tout au long de cet article, l'auteur exprime un questionnement suscité par la demande de seconde analyse. Les critères de fin d'analyse sont ré-interrogés à la lumière d'une attention accrue, en relation avec la conception de la temporalité et de la causalité psychique dans la cure analytique. L'espace d'un "entre-deux", qui s'origine dans et par le processus d'étayage--après-coup, en reste le moteur idoine, aux conséquences riches de signification et ré-élaboration. Le destin de ce temps étant de "comprendre" le passage d'un fonctionnement mental (primaire) à un autre (secondaire), sera l'ouverture d'une relance de possibles psychiques à la capacité de désirer d'un sujet.

Résumé : Pourquoi le traumatique? En premier lieu parce que Freud n'a cessé d'en faire, tout au long de sa vie, une de ses idées maîtresses. Ensuite, parce que l'approche du traumatique reste un des domaines dont l'importance actuelle tant clinique que théorique n'est plus à souligner...tout en restant bien entendu, dans la pensée de Freud. Tout au long de cet article, nous avons essayé de dégager quelques lignes directrices autour d'une de ses composantes spécifiques : la fascination du sujet par le traumatisme comme moyen dynamique lui permettant de lutter contre le traumatisme lui-même. Ce rapport de deux forces, à la fois identiques et paradoxales, met en jeu un travail psychique particulier, témoignant de l'émergence d'une problématique prégénitale, voire anale, au travers de laquelle l'irruption dans la cure d'une expérience de désordre à valeur traumatique doit amener à une actualisation résolutive d'événements jusque là indicibles et insurmontables.

Résumé : Divers problèmes ont été soulevés au cours de l'exposé qui sont restés, à l'évidence sans réponses . Mais la nostalgie, après tout, ne serait-elle pas une réponse qui élude "la" question…? Dans la situation et le processus analytique, la perte de l'objet aimé-à court et à long terme-est imposée au sujet, perte dont il ne saurait faire l'économie...Ce qui ne saurait nous empêcher, pour autant, de croire à nos rêves d'enfance.