• Accueil
  • Institution
    • Membres et Participants
    • Bureau
    • Bulletin et site
    • Secrétariat
    • Fondation
    • Documents sur l'histoire du Quatrième Groupe
    • Réinstituantes
    • Liens
    • Tribune
    • Espace analystes-membres et participants
  • Activités
    • Groupes de travail
    • Séminaires et cycles
    • Conférences
    • Débats et Tables Rondes
    • Journées de travail
    • Journées scientifiques
    • Exothèque
    • Projections
  • Publications
    • Publications du Quatrième Groupe
    • Publications Varia
    • Livres
    • Articles
    • Interlignes
    • Bibliographies
    • Contributions en ligne
    • Bibliothèque
    • Documents audio-visuels
  • Formation
    • Le processus
    • Textes sur la formation

Activités Scientifiques

  • Groupes de travail
  • Séminaires et cycles
  • Conférences
  • Débats et Tables Rondes
  • Journées de travail
  • Journées scientifiques
  • Exothèque
  • Projections

Archives

Journées de travail 2025-2026

PARIS, Journée réservée aux membres et participants du IV° Groupe
samedi 20 septembre 2025, de 9h45 à 17h30

L'écoute en questions - Au plus près des phénomènes cliniques 

►Avec les interventions de  Francis Drossart et Robert Dubanchet (membres du Quatrième Groupe), Myriam Diallo et Marie Merle (participantes aux activités du Quatrième Groupe) 

►Le comité d'organisation, outre Jean-François Chiantaretto et Georges Gaillard (Secrétaires scientifiques), est composé de Héloïse Castellanos-Colombo, Robert Dubanchet, Élisabeth Herlemont, Ghyslain Lévy, Claire Michelon (membres du Quatrième Groupe) 

Lieu : USIC - Salle Pupey Girard, 18, rue de Varenne 75007 PARIS

Argument :

Notre journée scientifique interne de septembre 2024 avait pour titre « L'écoute en questions ». Au vu de l'importance des interrogations ouvertes par cette centration et la richesse des échanges auxquels cela a donné lieu, le Comité d'Organisation de la journée souhaite le reprendre et l'approfondir en 2025, en portant l'accent sur la complexité de la clinique, via une approche « phénoménologique » de l'écoute. Il s'agira, encore et toujours, de décompacter et de rendre lisible à soi-même et pour quelques autres, les processus qui prennent forme dans l'appareillage des inconscients. 

Il convient donc de revisiter l'interrogation portant sur le « fonctionnement psychique du psychanalyste et de ses fluctuations, en situation analytique ». Comment sommes-nous affectés, encombrés, troublés, délogés par le fonctionnement psychique des analysants ; ceci tout autant dans ses modalités de mise en œuvre qu'au travers de la matière de la séance. Si, bien entendu l'écoute est tributaire du cadre et du dispositif spécifiques où elle se déploie, elle prend également place dans une dynamique contextuelle, temporo-spatiale, celle de la succession des patients – analysants, et des transferts du psychanalyste sur la psychanalyse. 

Quelles en sont les implications au niveau de la disponibilité de l'analyste, de la construction de son fil associatif, au long de la journée et des multiples interférences qui s'y trouvent emmêlées ? S'il y a lieu de s’interroger sur la manière dont chacun-(e) compose avec la double dynamique transféro-contre-transférentielle, en tant qu'elle spécifie l'écoute des associations du patient (énoncées, latentes ou empêchées) et l’écoute de cette écoute, il convient de rajouter à cette configuration un ensemble d'autres paramètres, en lien avec le cadre : le nombre de rencontres hebdomadaires auquel cela donne lieu, la disponibilité et/l'indisponibilité de l'écoute de l'analyste en lien avec les encombrements liés à ses patients précédents, sa disposition à maintenir un dialogue interne avec ses propres analystes, et avec la métapsychologie,...

Comment dans un tel espace, saturé d'enjeux, chaque analyste travaille-t-il à décondenser son écoute et à se rendre attentif à ce qui cherche à se faire entendre dans l'entre-deux de la rencontre ? Il nous revient de revisiter cycliquement ces questions au fondement de notre pratique.

 

Programme :

Matinée modérée par Héloïse Castellanos-Colombo

09h45 Accueil  

10h00 Introduction de la journée par Jean-François Chiantaretto et Georges Gaillard  

10h15 Robert Dubanchet : « Régression topique, étrangetés et perlaborations »  

10h45 Discussion  

11h15 Pause  

11h30 Myriam Diallo : « Écoute d’une fugue : entre la « folie» de l’analyste et celle de l’analysant » 

12h00 Discussion  

12h30 Déjeuner

Après-midi modérée par Élisabeth Herlemont

14h15 Francis Drossart : « Frankenstein de Mary Shelley : un échec transférentiel catastrophique »  

14h45 Discussion  

15h15 Pause  

15h30 Marie Merle : « L'acrobate et le rubis » 

16h00 Discussion 

16h30 Discussion générale et conclusions 

17h30 Clôture de la journée

Secrétariat Scientifique :

Jean-François CHIANTARETTO jfchant@orange.fr 06 74 05 29 95
Georges GAILLARD georges.gaillard@orange.fr 06 08 64 17 16

 

Inscription :

Frais de participation - Membres/Participants : 30 €, inscription préalable requise.  

Inscription numérique uniquement (en ligne) sur la plateforme Yapla ► ici, ou encore copier/coller ce lien dans votre moteur de recherche : https://quatrieme-groupe-oplf.s2.yapla.com/fr/event-85959

Lien vers la plaquette ► ici

LYON, Journée de restitution
samedi 11 octobre 2025, de 9h00 à 17h30

« Travail de culture », hypermodernité et processus de subjectivation 

►Intervenants : 
Danet Catherine, Médecin psychiatre, participante aux activités scientifiques du Quatrième Groupe, 
Follet Marianne, Psychologue clinicienne, participante aux activités scientifiques du Quatrième Groupe, 
Gaillard Georges, Psychanalyste membre du Quatrième Groupe, 
Herlemont Élisabeth, Psychanalyste membre du Quatrième Groupe, 
Linde Elysé, Psychologue clinicien, participant aux activités scientifiques du Quatrième Groupe, 
Matha Christophe, Médecin psychiatre, participant aux activités scientifiques du Quatrième Groupe, 
Monteiro-Braz Myriam, Psychologue clinicienne, participante aux activités scientifiques du Quatrième Groupe, 
Moulin Géraldine, Psychologue clinicienne, participante aux activités scientifiques du Quatrième Groupe 
►Invitée fil rouge : 
Henri-Ménassé Catherine, a exercé comme psychanalyste et a été membre du Quatrième Groupe. 
Depuis sa retraite, elle a une pratique de plasticienne. 

Lieu : MIM - Maison Internationale Missionnaire Salle Bresilac 150, cours Gambetta 69007 LYON

Argument :

Intitulé « "Travail de Culture", hypermodernité et processus de subjectivation », ce groupe de travail s’est déroulé de novembre 2021 à décembre 2024. Nous nous sommes confrontés aux mutations majeures qui caractérisent notre contemporanéité, et à leurs incidences sur le processus d’appropriation subjective ; celui qui incombe à tout sujet dans son devenir.
Soulignons d’entrée de jeu que, dans cette exploration, les théorisations de Nathalie Zaltzman ont occupé une place centrale en lien avec le statut métapsychologique qu’elle a donné à la notion de « kulturarbeit » – de « travail de culture » –. Elle le définit en effet comme la nécessité pour tout sujet (dans sa dimension individuelle tout autant que dans sa dimension collective), de « connaître l’intimité (en lui) de la dimension du mal ».
En nous référant à de nombreux autres auteurs (psychanalystes, sociologues, mais aussi romanciers, ...), il s’est agi d’éclairer les dynamiques en jeu dans notre hypermodernité en tant qu’elles favorisent ou oblitèrent un
tel travail d’appropriation et de confrontation avec cette dimension présente en chacun. 
Ceci nous a amenés à partager la manière dont chacun d’entre nous, dans notre qualité d’analyste (en cabinet ou en institution), nous écoutons le sujet dans la singularité de son histoire subjective, et, en lien avec les bouleversements en cours, à la façon dont il construit et remanie ses étayages (libidinaux et sociaux). Ces mutations touchent, en effet centralement à l’investissement narcissique et au rapport à l’altérité, conduisant à de profondes transformations dans les identifications, les appartenances, la filiation et les affiliations. 
Au cours de cette journée de partage il s’agit de poursuivre avec d’autres la réflexion sur les transformations contemporaines, et la manière dont chacun de nous en tant qu’analyste nous composons avec ce monde, et participons de cette kulturarbeit. 

 

Programme :

MATINÉE

Discutante : Catherine Henri-Menassé

09h00 Accueil
09h15 Georges Gaillard
Ouverture

09h30 Catherine Danet
« La possibilité d'une clairière, à propos du garant transcendant »

10h15 Elysé Linde
« Accueillir l’autre en soi : un travail psychique à risque »

11h00 Pause

11h30 Géraldine Moulin
« Abonnement illimité et sans engagement chez la psy »

12h15 Pause déjeuner

APRÈS-MIDI
Discutante : Catherine Henri-Menassé

13h45 Élisabeth Herlemont
« Le vacarme du temps qui bat »

14h30 Marianne Follet
« La plus précieuse des marchandises »

15h15 Pause

15h45 Christophe Matha
« Repenser l'angoisse ou la banalisation des mots »

16h30 Myriam Monteiro-Braz
« L’oasis, possibilité et nécessité »

17h15 Discussion finale

17h30 Clôture de la journée

Secrétariat Scientifique :

Jean-François Chiantaretto : jfchant2013@gmail.com 
Georges Gaillard : georges.gaillard@orange.fr 

 

Inscription :

Participation aux frais : 20 €
Etudiants : 10 €
Inscription préalable requise.
Inscription numérique uniquement (enligne) sur la plateforme Yapla en cliquant sur le lien suivant :
https://quatrieme-groupe-oplf.s2.yapla.com/fr/event-91231

Date limite d’inscription :
Jeudi 9 octobre 2025

lien vers la plaquette ►ici

LYON, Journée de partage à partir du groupe de travail
samedi 15 novembre, de 9h00 à 16h30

VOIX PLURI ELLES : « Bisexualité psychique - Différence des sexes »

►Modérateurs : 
Claire Michelon et Robert Dubanchet, Psychanalystes membres du Quatrième Groupe

Lieu : Mairie du 6ème arrondissement (salle numéro 5) 37, rue Bossuet 69005 Lyon

Argument :

Le groupe de travail « « Bisexualité psychique - Différence des sexes », s’est déroulé de Janvier 2020 à Juin 2024.
Le concept de bisexualité psychique, concept fondateur de la psychanalyse, a été introduit par Freud à la suite d’échanges avec Fliess. Il apporte un éclairage pertinent à l’étude des caractères sexuels. Son exploration a permis au groupe de mettre en perspective la perception de l’identité sexuelle dans notre monde contemporain avec la théorie phallocentrique de la psycho sexualité et la conception freudienne du féminin et de la sexualité féminine.
Nous avons ensuite croisé la pensée d’autres psychanalystes, tels que Didier Anzieu, Piera Aulagnier, Joyce McDougall, Sandor Ferenczi, André Green, Donald Winnicott, sur le féminin et le masculin, sur les mouvements complexes des configurations œdipiennes, sur l’instauration des interdits fondateurs, tout comme sur le passage par le fantasme de castration.
Attentives aux mouvements de notre société, nous nous sommes bien sûr intéressées à la théorie du genre, au phénomène trans et aux nouvelles formes d’accès à l'identité sexuelle. À partir des différences chez le garçon et chez la fille dans le déroulement du complexe d’œdipe et dans l’établissement du complexe de castration, nous sommes arrivées à la dualité masculin-féminin qui se décline sous l’angle psychanalytique dans la polarité actif-passif et avons examiné d’autres polarités comme le couple visible-non visible et intérieur-extérieur.
Dans cette journée de partage, nous aborderons les dynamiques qui s'expriment par une symptomatologie en rapport avec la différence des sexes ou avec un ou des caractères sexuels. Partant de la référence aux concepts fondamentaux de la psychanalyse, notre propos sera d’explorer ce que ces dynamiques révèlent d’appropriation, de mise sous silence ou de déni de la bisexualité psychique du sujet. Nous ferons un détour l’après midi par le roman de Flaubert « Madame Bovary » où l’érotique se mêle à l’impersonnel, le féminin respire le masculin et réciproquement et où l’art de l’écriture devient l’éloge de l’équivoque.
Un autre versant de notre travail, que nous mettrons en discussion lors de cette journée concerne la prise en compte de la bisexualité psychique dans le processus analytique. La tension entre masculin et féminin et entre féminin et masculin, sans cesse à l’ouvrage dans le processus analytique est porteuse à la fois du mouvement de transformation chez l'analysant et du double mouvement d'écoute et d'interprétation du côté de l’analyste.

 

Programme :

Matinée modérée par Claire Michelon

9h00 Accueil

9h15 Élisabeth Herlemont : Ouverture


9h30 Élisabeth de Barbanson : « Vagabondages autour du film Emilia Perez - Une tentative de résolution de la mésinscription »

10h15 Claire Rainault : « Survivre au meurtre d’âme - Être ou faire famille ? »

11h00 Pause

11h30 Hélène de la Vaissière : « Adolescence, sexualité et genre »

12h15 Pause déjeuner

 

Après-midi modérée par Robert Dubanchet

13h45 Aurélie Bardet : «  Emma Flaubert ou Gustave Bovary ? - L’art du masque et de la plume »

14h30 Jeanne Hélène Mayaux : « Hystérie et Bisexualité - Emma Bovary aurait-elle voulu être un homme ? »

15h15 Pause

15h45 Table ronde - Débat général : « La bisexualité psychique dans la cure »

16h30 Clôture de la journée

Secrétariat Scientifique :

Jean-François Chiantaretto : jfchant2013@gmail.com 
Georges Gaillard : georges.gaillard@orange.fr 

 

Inscription :

Participation aux frais : 20 €
Etudiants : 10 €

Inscription préalable requise.

Inscription numérique uniquement (en ligne) sur la plateforme Yapla en cliquant sur le lien suivant :
https://quatrieme-groupe-oplf.s2.yapla.com/fr/event-95101

L’inscription est validée à réception du règlement

 

Commentaires :

Lien vers la plaquette ►ici

PARIS, Journées d'études de la Société de Psychanalyse Freudienne
Samedi 15 et Dimanche 16 novembre 2025

Langues affectées, Discours Désaffectés 

►Avec la participation de Jean-François Chiantaretto, Psychanalyste membre du Quatrième Groupe


 

Lieu : ASIEM, 6 rue Albert de Lapparent, 75007 Paris [Métro : Ségur (Ligne 10) –Sèvres Lecourbe (ligne 6) Ecole Militaire (ligne 8)]

Argument :

Si les affects émergent par des éprouvés corporels, le sensoriel, l’image, comment les interpréter, dans les dissonances du langage ou les altérations du discours puisque nous entendons des paroles sans affects, et percevons des affects sans parole ? La clinique analytique, via l’analyse du transfert, nous pousse à réfléchir à la fonction de traducteur, de transmetteur qu’il nous arrive parfois de pratiquer, face à des affects non reliés à des représentations ou à l’absence d’affects. Nos pratiques d’aujourd’hui, issues de l’œuvre et de la métapsychologie freudienne comme de l’héritage lacanien, s’inscrivent dans une tradition intellectuelle occidentale où le langage et le discours ont été érigés en principes fondamentaux, souvent au détriment du sensible et des émotions. Cette perspective, qui structure encore largement notre écoute clinique, nous engage à approfondir
cette recherche qui s’est enrichie de l’apport de S. Ferenczi, A. Green, P. Aulagnier, J. Mc Dougall et d’autres. Ils nous accompagneront tout au long de ce colloque. Notre époque, celle de l’empathie et du tout émotionnel ne se place-t-elle pas en opposition à notre clinique ? Ne s’agit-il pas de prendre en considération la notion centrale d’affect en la réinscrivant dans la structure de l’inconscient après Freud et Lacan. Cette réflexion s’adossera à d’autres travaux qui se sont développés dans la vie des idées ces dernières années et explorent avec de plus en plus d’intérêt le monde du sensible. Des historiens et historiennes, notamment, ont mis au cœur de leurs recherches la question de l’expression des affects dans l’analyse qu’ils font de leurs sources, dans les archives, et de leur propre capacité à leur donner sens, pour restituer les éprouvés par-delà les mots consignés. 

 

Programme :

SAMEDI 15 NOVEMBRE 2025 

MATINÉE : 9h00 à 13h00 

Présidente de séance : Maylis de LA SAUSSAY 

9h00  Accueil des participants 
9h15 Ouverture : Georgette BOCCHINI-REVEST et Jean-Pierre MARCOS 
9h45 Yves LUGRIN : « Affects et exigence de figurabilité » 
10h15 Georgette BOCCHINI-REVEST : « Ce que mon langage tait, mon corps le dit » 
11h00 Pause 
11h30 Dominique BOURDIN « L’(in)disponible affect » 
12h00 Alain LEMOSOF : « Entr’ouvrir » 

13h00 Déjeuner 

APRES-MIDI : 14h30 à 18h00 
Président de séance : Dominique LAJEAT 
Discutante : Catherine VEY 

14h30 Jean-François CHIANTARETTO : « Tomber hors du monde : L’effroi » 
15h00 Jean-François SOLAL : « Négativité et angoisse de transfert » 
16h00 Pause 
Discutante : Marion LEVY 
16h30 Daniel KOREN : « L’affect, enjeu et symptôme de la psychanalyse contemporaine » 
17h00 Jean Pierre MARCOS : « Sois sage, ô ma Douleur, et tiens-toi plus tranquille » 
18h00 Fin de la journée 

DIMANCHE 16 NOVEMBRE 2025 
MATINÉE : 10h00-12h30 
Ateliers :

Atelier 1 : « Psychanalyse, littérature et affects » 
Dominique BONNAFE, Sandra HUEBER, Dimitri LORRAIN, Claude STARCK 

Atelier 2 : « Dans l’entre deux du corps et de la parole, l’affect » 
Gilles BENARD, Malgorzata MALISZEWSKA, Nicolas ROBERT, Nawal SOUISSI 
Discutant : Christian CHAPUT 

Atelier 3 : « Du nourrisson au bébé dans l’homme » 
Brigitte BORSONI, Lucie CHARIAL, Marie DESSONS 
Discutants : Yves LUGRIN et Maylis de LA SAUSSAY 

APRES-MIDI : 14h00-18h00 
Présidente de séance : Marcianne BLEVIS 
14h00 -17h30 
« L’effacement des traces. Comment faire sens, restituer les éprouvés ? » 
« Des historiens à l’épreuve des affects ». 
- 14h15 : Anouche KUNTH 
- 14h45 : Jérémy FOA 
- 16h00 : Sylvain PIRON 
Discussion avec Marcianne BLEVIS, Georgette BOCCHINI-REVEST et Clémence REVEST  

17h15 Conclusion : Monique DAVID-MENARD 

Secrétariat Scientifique :

Comité d’organisation : Georgette BOCCHINI- REVEST, Alain LEMOSOF, Yves LUGRIN, Jean-Pierre MARCOS, Claude STARCK 

 

Inscription :

Inscription en ligne : https://www.spf.asso.fr/
Cliquez sur l’onglet « Évènements », puis choisir dans le menu déroulant « Journées d’études ». Vous y trouverez un lien pour vous inscrire. 
Ou formulaire d'inscription présent sur la plaquette accessible ►ici

En présentiel à l’ASIEM
• 140 €
• 60 € pour les étudiants (justificatif obligatoire)
! En visioconférence
• 100 €
• 50 € pour les étudiants (justificatif obligatoire)
Règlement par chèque à l’ordre de la SPF

 

Commentaires :

Intervenants :

►Gilles BENARD (SPF), Marcianne BLEVIS (SPF), Georgette BOCCHINI-REVEST (SPF), Dominique BONNAFE (SPF), Brigitte BORSONI (SPF), Dominique BOURDIN (SPP), Christian CHAPUT (SPF), Lucie CHARIAL (SPF), Jean-François CHIANTARETTO (IVème groupe), Monique DAVID-MENARD (SPF), Marie DESSONS (APF), Jerémie FOA (Historien,) Sandra HUEBER (SPF), Anouche KUNTH (Historienne), Daniel KOREN (SPF), Dominique LAJEAT (SPF), Maylis de LA SAUSSAY (SPF), Alain LEMOSOF (SPF), Marion LEVY (SPF), Dimitri LORRAIN (FEDERPSY), Yves LUGRIN (SPF), Malgorzata MALISZEWSKA (SPF), Jean-Pierre MARCOS (SPF), Sylvain PIRON (Historien), Clémence REVEST (Historienne), Nicolas ROBERT (SPF), Jean-François SOLAL (SPF), Nawal SOUISSI (Psychiatre), Claude STARCK (SPF), Catherine VEY (SPF). 


PARIS, Conversation avec Leopoldo Bleger
samedi 22 novembre 2025, de 14h00 à 18h00

Analyse à distance : les préjugés et le pacte

►Avec Leopoldo Bleger, Psychanalyste membre titulaire de l'APF, Jean-François Chiantaretto, Psychanalyste membre du Quatrième Groupe, Pierrette Laurent, Psychanalyste membre du Quatrième Groupe, Ghyslain Lévy, Psychanalyste membre du Quatrième Groupe, Louis Ruiz, Psychanalyste membre du Quatrième Groupe

Lieu : Au local du Quatrième Groupe-OPLF 8, rue Eugène Varlin 75010 PARIS

Argument :

Pour la majorité des psychanalystes, l’épidémie de covid de 2020 a marqué un avant et un après. Il y a les réactions des uns et des autres, les manières de penser la situation, et pour ceux qui ont fait des séances « à distance », l’expérience elle-même. C’est donc un vaste champ de recherche qui s’est ouvert.
En réalité, dans beaucoup de pays, et notamment aux États-Unis, l’épidémie n’a fait que révéler ce qui était déjà là : une pratique assez généralisée de l’analyse à distance depuis une vingtaine d’années. Les choses se sont passées différemment en Amérique latine, plus encore en Europe. Il est donc difficile de généraliser.
Et pourtant, on peut écouter analytiquement un matériel qui n’est pas analytique ou que l’on ne considère pas comme analytique. L’accent se déplace des modalités concrètes de la pratique à l’écoute de ce matériel dans nos propres paramètres. Autrement dit, « prendre au sérieux » un matériel clinique qui, de prime abord, nous rebute, surmonter nos préjugés ou plutôt essayer de les suspendre. On se rend compte alors à quel point la pratique psychanalytique, toute pratique psychanalytique, éveille inévitablement des préjugés chez l’analyste.
En fait, à entendre le matériel des analyses à distance, on ne peut que constater que le transfert commande. Et peut-être, comme avec la question des préjugés, ne peut-on que l’oublier et le redécouvrir.
La mise en place d’une analyse à distance montre bien une sorte de « pacte » entre analyste et patient. Le psychanalyste devient alors souvent un accompagnateur, un objet bon et secourable dans les aléas de la vie. Ici, on dirait que c’est le traumatisme qui commande.
Mais à partir de là on peut tout aussi bien essayer de saisir, par exemple, quelle séduction a été proposée par le patient à son insu (la détresse affective, une histoire infantile faite d’abandon, voire de mauvais traitement) et quelle réponse cela provoque chez l’analyste, invité en quelque sorte à une place de démiurge. Le narcissisme et la toute-puissance guettent. Un pacte s’est mis en place à l’insu des deux membres du couple analytique.
En fait, la question nous revient comme un boomerang : qu’en est-il lorsqu’on propose une analyse plus classique à quelqu’un ?

 

Programme :

14h00 Accueil

14h15 Jean-François Chiantaretto : Introduction  

14h30 Leopoldo Bleger : « Analyse à distance : les préjugés et le pacte »

15h00 Conversations :
Pierrette Laurent : « De la théorie psychanalytique à la théorie du psychanalyste »
Ghyslain Lévy : « Transferts en contre sur le cadre et écoute quatrième »
Louis Ruiz : « Présence absentée »

16h00 Pause

16h30 Discussion

18h00 Fin

Secrétariat Scientifique :

►Secrétariat scientifique du IVème Groupe : 
Jean-François Chiantaretto : jfchant@orange.fr 
Georges Gaillard : georges.gaillard@orange.fr 

 

Inscription :

Participation aux frais :
►20 € pour les membres et participants du
Quatrième Groupe
►30 € pour les personnes extérieures
Inscription préalable requise.

Inscription numérique uniquement (en ligne) sur la plateforme Yapla en cliquant sur le lien suivant :

https://quatrieme-groupe-oplf.s2.yapla.com/fr/event-94432

Date limite d’inscription :
Jeudi 20 novembre 2025

 

Commentaires :

Lien vers la plaquette ►ici

Pour entrer au local : Code 52A76 – Entrée fond de cour à gauche

CERISY-LA-SALLE, Colloque international de Cerisy
du 21 au 27 Août 2026

La psychanalyse altérée ? Écouter, transformer, transmettre aujourd’hui. 

►Colloque co-organisé par le Quatrième Groupe, la Société Psychanalytique de Montréal (SPM) et la Société Belge de Psychanalyse (SBP)

Lieu : Centre culturel International de Cerisy - 2, le Château 50210 Cerisy-la-Salle

Argument :

Les psychanalystes sont altérés par « l’air du temps » : dans leur pratique clinique et dans leurs constructions théoriques. Cela vaut avec et depuis Freud, à travers les évolutions, les révolutions et les catastrophes ayant marqué ces décennies. Qu’en est-il aujourd’hui ?

La mondialisation a construit un monde à la fois un et soumis aux innombrables fragmentations des logiques identitaires, un monde horizontal et fondamentalement inégalitaire ; un monde où la possibilité d’une référence commune semble s’éloigner de jour en jour, et qui fabrique des individus soumis aux dérives mortifères du narcissisme. 

L’approche psychanalytique suppose un sujet dont la singularité se situe au point de nouage de l’individuel et du collectif – un sujet aux prises avec l’intrication et la désintrication des pulsions de vie et de mort. Comment les psychanalystes prennent-ils en compte « le penchant naturel à l’auto-anéantissement et à l’agression » (Freud) ? Qui plus est dans une période où personne ne peut plus ignorer que l’humanité est mortelle et que la reconnaissance de « l’humain » comme donne universelle n’est plus de mise. Comment peuvent-ils aujourd’hui l’entendre et contribuer à rendre ce « penchant naturel » suffisamment pensable et transformable ? En quoi cette contribution rencontre-t-elle les « sciences connexes » (Freud) et la créativité des artistes et des écrivains ?

Comment en parler en tant que psychanalyste ? Comment parler à partir de notre propre altération et non à partir du déjà connu ? Comment penser la transmission dans ce contexte ? Et comment penser la notion même de transmission ?

La psychanalyse – qui ne propose ni une conception du monde, ni un projet de société – ne s’est créée et ne pourra se renouveler que dans une transmission passant par sa pratique, la formation de psychanalystes et l’écoute des enjeux psychiques corrélés aux transformations sociales et culturelles. Ces transformations viennent aujourd’hui interroger directement la dimension politique tant du travail de culture dans la cure – et dans les dispositifs qui s’y réfèrent – que du travail de désaliénation qui incombe à tout sujet. 

Que peuvent les psychanalystes, quand la guerre se généralise et se démultiplie à l’échelle des individus comme à l’échelle des nations ? Quand la falsification de l’intime et la précarisation des identifications se rejoignent dans un processus de déréalisation ?  

Telles sont les préoccupations à l’origine de ce colloque international. Il est délibérément ancré dans l’aire francophone de la psychanalyse et ce qui la spécifie : la place centrale accordée à la culture comme sol commun.

 

Programme :

Le programme est actuellement en construction

Secrétariat Scientifique :

►Secrétariat Scientifique du IVème Groupe : 
Jean-François Chiantaretto : jfchant@orange.fr 
Georges Gaillard : georges.gaillard@orange.fr 

 

Inscription :

Les modalités d'inscription seront transmises ultérieurement

contact - mentions légales