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    Articles récents

    HERLEM P., À propos de la critique littéraire psychanalytique in Le Coq-héron 204, Arts et psychanalyse, 32 à 49, Toulouse, Érès, 2010
    Résumé : Dans le champ de la critique littéraire, la psychanalyse introduit une nouvelle dimension, une autre façon de lire. Les travaux de Freud mettent en évidence les processus inconscients à l’œuvre dans certaines créations littéraires, cherchent à comprendre l’implication de l’inconscient dans l’élaboration de l’objet littéraire et de l’objet d’art en général, et interprètent les enjeux inconscients de l’auteur inscrits dans son œuvre : ces travaux inventent une lecture nouvelle de l’objet littéraire, de l’objet d’art, ils ouvrent des voies nouvelles tout en se heurtant aussi à des limites, des résistances qui sont celles de Freud. Les relations ultérieures entre la critique et la psychanalyse sont multiples et complexes, aussi bien en raison de la résistance de la critique à la psychanalyse que de celle de la psychanalyse aux nouvelles créations de l’art. Ces relations font l’objet d’une réflexion, d’une interrogation progressive pour tenter d’aboutir à une position renouvelée de la critique psychanalytique à l’égard des objets littéraires et des objets d’art : une position qui parviendrait à considérer la psychanalyse ailleurs que l’art, mais sur un même plan culturel, antagoniste parfois, renonçant certes à la prétention d’une quelconque supériorité. Il s’agirait de montrer en quoi psychanalyse et art peuvent parler ensemble sans que l’un cherche forcément à être au-dessus de l’autre.
    Mots clés : critique littéraire, psychanalyse, processus de création, art, résistance, objet d’amour

     

    STEPHANATOS G., La méthode, toujours la méthode in Ek ton ysteron, n° 21, p.31-74, Athènes (en grec), 2010
    Résumé :

    La référence à la méthode constitue le garant essentiel de la pratique de l’analyste et de ses résultats. La méthode analytique se lie à tous les éléments du processus analytique, la dynamique du transfert et du contre-transfert, le cadre, la règle d’abstinence et les conditions qui rendent l’interprétation possible. Vu sous cet angle, la question de la méthode se complexifie et se différencie de la simple application d’une technique et se réfère à la capacité ou non de l’analysant de s’approprier la méthode, à l’éthique du changement, ainsi qu'à un processus de théorisation latente de la part de l’ analyste qui a comme point de départ le contre-transfert et comme résultat un savoir métapsychologique spécifique qui rencontre les limites de la méthode.

     

    STEPHANATOS G., Mémoire Nathalie Zaltzman : La réalité pour la psyché, la réalité dans la psyché in Ek ton ysteron, n° 20, p.109-118, Athènes, 2010

     

    TYSEBAERT E., L'engagement clinique de Nathalie Zaltzman in Penser/rêver 18, La lettre à la mère, 173 à 184, Paris, Éditions de l'olivier, 2010

     

    HENRI-MENASSÉ C.ET GAILLARD G., L'analyse de la pratique : le travail du lien in Revue du CREAI Rhône-Alpes 140, Questionner les évidences, 4-7, Lyon, CREAI Rhône-Alpes, 2010
    Résumé : L'analyse de la pratique en institution est appelée à soutenir les identifications professionnelles mises à mal par les effets des répétitions au fil du temps. Elle travaille à re dynamiser les éléments transférentiels appartenant à la rencontre singulière entre les sujets. Son espace est inévitablement infiltré par des représentations, le plus souvent silencieuses, provenant du fond de scène constitué par la dimension institutionnelle. L'élaboration discrète et continue de ces représentations soutient activement la "détoxication" des liens entre les acteurs d'une structure donnée.

     

    FOGNINI M., Questions de transmissions (éditorial) et Avant-propos – A propos de l’ l’histoire du Coq Héron (n°1 à 40) in Le Coq-Héron n° 200, 2010, QUELLE TRANSMISSION EN PSYCHANALYSE (DOUBLE ANNIVERSAIRE DE LA REVUE) (direction du n°), Ramonville Saint-Agne, Erès, 2010

     

    FOGNINI M., Présents (2010) in REVUE TRIBUNE PSYCHANALYTIQUE N° 9-2010 , LA PRÉSENCE (PCL holding Lausanne), Lausanne, éditions de l'Aire (Vevey), 2010

     

    MIJOLLA-MELLOR S., La propagande entre insurrection et contre-insurrection in Topique 111, Violence ou persuasion, 73 à 81, Le Bouscat, L'Esprit du temps, 2010
    Résumé : La propagande est une action par influence qui n’apparaît pas comme une violence dans la mesure où elle agit par persuasion. Toutefois la régression qu’elle instaure ou qu’elle renforce en substituant des objets de croyance à des objets de pensée constitue bien une violence, voire un viol, dans la mesure où elle infiltre dans le sujet des interprétations de la réalité qui vont avoir pour lui la valeur de faits. L’article est fondé sur l’exemple de l’utilisation de la propagande comme arme en tant de guerre et la manière dont, d’après l’ouvrage de David Galula « Contre-insurrection – Théorie et pratique », elle vient répondre en miroir à celle de l’ennemi considéré comme un insurgé.
    Mots clés : Insurrection, Contre-insurrection, Loyalisme, Crise, Politique, Révolution

     

    DROSSART F., Violence et persuasion dans Eyes wide shut de Stanley Kubrick in Topique 111, Violence ou persuasion, 169 à 176, Le Bouscat, L'Esprit du temps, 2010
    Résumé : Je soutiendrai ici l’hypothèse selon laquelle le dernier film de Stanley Kubrick Eyes Wide Shut, illustre magistralement la manière dont, dans un certain type de système totalitaire (le « gang ») violence et persuasion sont l’envers et l’endroit d’un même processus, ceci avec l’entière complicité du sujet sur lequel toutes deux s’exercent. Il s’agit là du phénomène psychique décrit par J. Steiner, selon lequel « le sujet sélectionne certains objets destructeurs, à l’intérieur desquels il projette ses propres parties destructrices »... À cet égard, le personnage du « meneur de jeu » (Ziegler) introduit par Kubrick (et qui n’existe pas dans le roman initial de Schnitzler), est exemplaire. Ce « meneur de jeu » résume à lui seul l’ambiguïté perverse de l’objet destructeur idéalisé, qui amène l’anti-héros du film (Bill) pour « sauver la mise » ( ?), à accepter de voir « vaporiser » la femme qui avait sacrifié sa vie pour lui sauver la sienne.
    Mots clés : Violence, Destructivité, Claustrum, Psychose, Perversion

     

    DROSSART F., La gestation littéraire dans la « Recherche » in Topique 109, L'acte poétique, 77 à 86, Le Bouscat, L'Esprit du Temps, 2010
    Résumé : La Recherche du Temps Perdu fourmille de métaphores. Parmi celles-ci, la métaphore médicale. Bien plus que la réalité des « étouffements » dont souffrait son Auteur, c’est l’identification nieztschéenne du Narrateur au médecin expérimentateur, comme paradigme de la recherche de la vérité, qui paraît être au cœur d’une démarche qui, sans jamais s’y référer explicitement, s’apparente à l’auto-analyse. Elle amènera le génie de l’Auteur-Narrateur aux confins de la monstruosité, que ce soit dans son expérimentation sur lui-même de la maladie amoureuse, ou dans sa conception de la création littéraire comme une gestation parthénogénétique et hermaphrodite, visant à reconstruire, sans fin et sans limite, un corps constamment en voie de dissolution, de la madeleine au pavé inégal, éclairant ainsi pour nous certaines des voies les plus obscures de la sublimation.
    Mots clés : Sublimation, Création littéraire, Métaphore, Croissance psychique, Marcel Proust

     

    MIJOLLA-MELLOR S., Le ravissement par l’Art in Topique 109, L'acte poétique, 169 à 176, Le Bouscat, L'Esprit du Temps, 2010
    Résumé : L’extase de l’auditeur est d’abord celle que vit Gould en se laissant déposséder de lui-même, « ravir », par l’œuvre avant d’y déposer son être tout entier. Cette relation n’est pas seulement à comprendre à la manière dont un parasite peut habiter un autre organisme et s’y développer mais comme le résultat d’un avalement préalable par ce dernier. Le grain de sable va devenir perle et faire de l’huître autre chose qu’un fruit de mer.... Ce que communique Gould, c’est son propre bouleversement quel que soit le raffinement technique qu’il apporte à la performance.
    Mots clés : Musique, Ravissement, Extase, Narcose esthétique

     

    PERAN R., L’immuable continuité de l’être in Topique 109, L'acte poétique, 291 à2 97, Le Bouscat, L'Esprit du Temps, 2010
    Résumé : La « sublimation » est un concept assez peu utilisé dans l’élaboration des histoires cliniques que nous pouvons entendre soit en analyse quatrième, soit lors d’exposés. Les aspects métapsychologiques ainsi que les liens à la temporalité et à la notion de choix donnent au concept de « Sublimation », dans le livre de Sophie de Mijolla-Mellor, une dimension utilisable pour la réflexion sur la clinique et son élaboration.
    Mots clés : Mouvement créateur, Transformation, Transmutation, « Trouvé-créé » , « Représentation-objet », Régression formelle, « Langage fondamental », Choix

     

    MIJOLLA-MELLOR S., Choix pervers, choix sublimé in Topique 109, L'acte poétique, 271 à 284, Le Bouscat, L'Esprit du Temps, 2010
    Résumé : En proposant la notion de « choix de la sublimation » l’auteur souligne que la sublimation est ouverte à tout moment, de même qu’est également possible ce que Freud appelle la « désublimation » qui n’est en fait qu’une option différente de celle dans lequel le sujet s’était initialement engagé. A partir de l’analyse de l’esthétisme, ce texte éclaire un aspect particulier de la question, soit la proximité entre le choix pervers et le choix sublimé qui opèrent tous deux un mouvement de contournement de l’interdit et parviennent, moyennant certaines limites, non seulement à maintenir l’écoulement du flux libidinal mais à le renforcer du fait de cet obstacle.
    Mots clés : Sublimation, Choix, Esthétisme, Perversion, Plaisir scopique

     

    FUSCO M-C. ET MORISI J., De la consultation d’hygiène mentale de la Seine (OPHS) au département de psychothérapie Le centre Victor-Smirnoff in Le Coq-Héron 201, Psychanalyse, politique société-Dossier I– Les dispensaires analytiques, 81 à 85, Ramonville Saint-Agne, érès, 2010
    Résumé : Pour maintenir l’exigence d’une activité psychanalytique dans le cadre d’un service public, le Dispensaire d’hygiène mentale de la préfecture de la Seine, créé en 1955 par le docteur Victor Smirnoff, se transformera en Département de psychothérapie pour adultes : « La rue Tiphaine ». Il sera composé d’une équipe de plus en plus importante, dont la majorité des membres était de formation psychanalytique. En raison des contraintes imposées par la mise en place de la sectorisation, ce centre devra négocier pour conserver son mode de fonctionnement psychanalytique.
    Grâce au soutien du professeur G. Daumezon, il sera rattaché au 22e secteur. Par la suite, après la mort de ce dernier, ce centre sera dans l’obligation, pour assurer son autonomie psychanalytique, de quitter la rue Tiphaine, son lieu de fondation. Il changera plusieurs fois de lieux, avant de trouver son installation actuelle au 22, boulevard de Sébastopol, où il poursuit, avec une équipe plus restreinte mais dans le même esprit, son activité de traitement psychanalytique.
    Mots clés : psychothérapie analytique, formation, autonomie thérapeutique, intranquillité

     

    MOREAU RICAUD M. , La Policlinique de Berlin (1920-1933) : une « organisation nouvelle » in Le Coq-Héron 201, Psychanalyse, politique société-Dossier I– Les dispensaires analytiques, 9 à 23, Ramonville Saint-Agne, érès, 2010
    Résumé : Une policlinique psychanalytique n’ayant pu se créer à Budapest en 1919, c’est Max Eitingon qui reprend l’idée et la réalise sur ses propres finances à Berlin en 1920. Cette première policlinique – dont on précise ici la fondation et le fonctionnement – deviendra un institut psychanalytique, qui offre à la fois un traitement gratuit pour la population nécessiteuse et la formation des analystes. Il servira de modèle pour tous les instituts de l’Association psychanalytique internationale. La Correspondance de Freud et d’Eitingon, récemment traduite, nous montre que l’idée, embryonnaire, d’un « sanatorium psychanalytique » était déjà chez Freud. Il n’y manquait que de conjuguer la clinique et la formation des analystes en une « École supérieure de psychanalyse » (Freud), qu’Eitingon et ses collègues mettront sur pied empiriquement et dont les grandes lignes du programme seront repensées par Freud en 1927, dans ses dernières pages de La question de l’analyse profane.
    Mots clés : Ferenczi, Eitingon, Policlinique de Berlin 1920, Rapports sur la Policlinique de Berlin de 1922 et de 1930, correspondance Freud-Eitingon, « sanatorium psychanalytique », « École supérieure de psychanalyse »

     

    ISNARD-DAVEZAC N., Comment naissent les grands-parents? in Les Lettres de la société de Psychanalyse Freudienne 23, Donner, transmettre, perdre, 22 à 36, Paris, Publication de la Société de Psychanalyse Freudienne-CampagnePremière, 2010
    Résumé : Longtemps négligés par la psychanalyse freudienne, les grands-parents sont pourtant les transmetteurs de contenus conscients et inconscients qui jouent un rôle important dans la construction psychique du sujet et dans son devenir. Les réflexions que propose cet article se réfèrent à l'épineuse question, envisagée par Freud dans Totem et tabou, de la transmission de processus psychiques d'une génération à une autre . Elles s'étayent sur le témoignage que Sartre en a donné dans Les Mots, sur des éléments puisés dans la pratique, et plus particulièrement sur l'observation d'un cas clinique.
    Mots clés : grands-parents,transmission intergénérationnelle des processus psychiques.

     

    JULLIAND E., in Avec la collaboration de : ASSAN J.-M,,BENARAB K., BUGGLIN,EVEN-LE BERRE C, FRANCIOLI F., LAURENT P., VÉNIER C. Bulletin d'Information 48 - Printemps 2010, Quatrième Groupe, 2010
    Résumé : p. 3 : ACTIVITES INSTITUTIONNELLES– ASSEMBLÉE GÉNÉRALE ORDINAIRE
    p.27 : COMPTES-RENDUS ET COMMENTAIRES DES ACTIVITES SCIENTIFIQUES
    p.59 : ACTUALITÉ DE LA PSYCHANALYSE
    p.64 : À PROPOS DE CINEMA
    p.66 : NOTES DE LECTURE
    p.76 : INFORMATIONS
    p. 79 : LISTE DES ANALYSTES "MEMBRES DU QUATRIÈME GROUPE"

     

    G. GAILLARD, « Donner à la mort une place. Les groupes institués et la présence déliante de la pulsion de mort » in Cahiers de Psychologie Clinique n°34 , Groupes et individus, p. 135-154, Bruxelles, De Bœck Université, 2010

     

    LÉVY G., Transmettre l'impossible ? in Le Coq-Héron 200, Quelle transmission en psychanalyse ?, 69 à 77, Ramonville Saint-Agne, Érès, 2010
    Résumé : Il y aurait, dans cette question inaugurale quant à la singularité de la transmission en psychanalyse, comme un paradoxe nouant l’acte de transmettre et « l’impossible ». Est-ce le constat d’un impossible à faire transmission ? D’un impossible à transmettre ? N’y aurait-il que l’impossible qui puisse se transmettre ? Y aurait-il de nouvelles conditions actuelles pour la psychanalyse et qui mettent en péril la possibilité même d’un « impossible » dont on s’accorderait à penser qu’il est l’essentiel de la chose à transmettre ? Cet « impossible » relève en priorité d’une temporalité inhérente à l’acte analytique, fondée sur le différé, le délai, le suspens, et ce qui, du manque, s’offre à désirer. C’est bien sûr le transfert comme mouvement de voilement/dévoilement de l’objet qui en est l’expression dans la cure, ce qui se trouve aujourd’hui gravement menacé par l’idéal consumériste commun, à l’heure où « tout est possible ». Transmettre l’angoisse serait transmettre ce qui, d’une irreprésentable séparation d’avec l’objet primaire, ouvre sur un autre destin que celui d’une interminable fascination. N’est-ce pas là une des conditions pour penser la fin de la cure ?

     

    BAZALGETTE G., La transmission du symbole in Le Coq-Héron 200, Quelle transmission en psychanalyse ?, 38 à 46, Ramonville Saint-Agne, Érès, 2010
    Résumé : Qu’est-ce qui se transmet dans l’analyse, de l’analyste à l’analysant ? La question sera abordée à partir de l’acte en lequel s’effectue cette transmission, l’acte d’interprétation. À ce titre, on montrera que, au travers du dénouage verbal des opacités transféro-contre-transférentielles qui œuvrent dans la cure, c’est un savoir sur le symbole et sa naissance qui tend à se transmettre pour un sujet. Nous esquisserons l’étude de la nature, des conditions et des limites de ce savoir trébuchant.

     

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